Deux types de solidarité se sont manifestés lors de la crise financière : une solidarité du marché où chacun est entraîné malgré lui dans la chute, et une solidarité organisée par les Etats. L’enjeu est de promouvoir la transparence et la responsabilité des acteurs financiers, de renforcer la régulation internationale des marchés et de réduire les pratiques à risque.

La crise financière a promu dans les grandes entreprises des attitudes d’écoute et de soutien qui contrastent avec les postures habituellement prisées. Sommes-nous en train de réapprendre la solidarité sur le terrain de nouvelles formes de précarité et d’exclusion ? Cette question est abordée à partir des exemples du RSA et des sociétés en réseaux.

Que nous est-il permis d’espérer de ce Dieu qui nous sauverait, dans ce monde où nous peinons tant ? Il faudrait qu’il soit assez compatissant pour être ému de la longue histoire du malheur des hommes, assez respectueux de ceux qu’il sauve pour les éduquer à se relever eux-mêmes sous sa douce et forte direction.